samedi 15 janvier 2011

Bombshell: Government Admits Fluoride Hurting Children

Bombshell: Government Admits Fluoride Hurting Children

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Alex Jones & Aaron Dykes
Infowars.com
January 14, 2011

A significant milestone in the fight against fluoride emerged quietly and without major notice from the mainstream news last week. After decades of ignoring the research about the dangers and hailing water fluoridation as one of the 10 greatest health achievements of the 20th Century (CDC), the government is calling for a reduction in the amount of fluoride it adds to public water supplies, citing its negative effect on teeth (dental fluorosis). For the first time since 1962, the standard for fluoride will be lowered from 1.2 to 0.7 milligrams per liter.

Because fluoride from water builds up over time in the human body, this reduction will not eliminate the dangers of fluoride– which include risk of bone cancer, bone fractures, thyroid disorder, brain inflammation, lowered IQ and mental functions, sterility or reduced fertility and more. However, it is a good sign that the powers-that-be are losing ground on the fluoride debate. Further, the reduction of fluoridation is proof that the warnings from activists, critics and health professionals have been heard after all.

As Alex Jones points out in the video, many of those health professionals who have been blowing the whistle on fluoridation for decades are employees or union contractors of the Environmental Protection Agency (EPA) and other governmental regulation agencies. Their objections, based on alarming scientific studies such as the one linking fluoridation with a seven-fold increase in bone cancer for boys, have heretofore been almost wholly ignored, until now. One reason for this government admission, by the way, likely has to do with limiting liability for those harmful effects, or even establishing immunity for districts who adhere to lowering the fluoride standard against future claims to harm.

  • A d v e r t i s e m e n t

At the same time, hundreds of other chemicals including many toxic ingredients like lead, arsenic, radium and uranium are also found in public drinking water. Many of these dangerous toxins are put into the water as part of the fluoride-cocktail administered in the many municipalities across the United States and other Western countries, or are leached into the supply via the acidic levels of fluoride. The compound is often not simply sodium fluoride, but a mix of toxic waste byproduct [see chart for hydrofluosilicic acid] created in the process of scrubbing phosphate fertilizer plants and in other high industry applications, such as aluminum.

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Furthermore, while fluoride is scheduled for reduction in public water supplies, it is still very common and often dangerously concentrated in many food products at levels of many more parts per million than water and in pesticides used for food production, and in the soils where those pesticides are used.

Though these other fluoride dangers are significant enough that we need to continue educating and informing our fellow friends, neighbors and families, those who have long spoken out about this issue can cherish one victory on the road to taking back our nation, our lives and our health. Now, with this important government admission, we must push for complete removal of added fluoride from public water in our areas.

Further, as advisors to government bodies around the world attempt to argue for forced mass-medication by adding substances like lithium to public water, we must argue against ‘forced consent’ and demand one of our most integral human rights– that no government of man can make a law to force medicate us against our will. We have a human right to say no, especially when we know better.

 

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mardi 11 janvier 2011

L'énergie de demain: le point de vue de Vague Normande

L’énergie de demain : Le point de vue de Vague Normande

Parc éoliennesLa question énergétique est, depuis plusieurs années maintenant, au cœur des débats politiques. Si tout le monde n’est pas d’accord sur les nouveaux moyens de production d’énergie à adopter, chacun semble conscient qu’une transition doit être effectuée vers des alternatives moins polluantes et plus durables.

Dans chaque mode de production d’énergie, même le plus propre, il ne conviendra pas de parler d’ “écologie”, d’abord parce que ce terme ne peut s’appliquer à une quelconque production artificielle comme l’explique M. Claude Timmerman, ensuite parce que son sens étymologique est presque toujours bafoué lorsqu’on emploie ce terme. Chaque initiative favorisant des technologies nouvelles plus propres n’est nullement à qualifier d’écologique, mais plutôt de développement durable qui ne se soucie que des besoins de l’Homme et des impacts qu’il aura sur son propre avenir.

En matière énergétique, le seul geste utile au biotope terrestre serait purement et simplement de réduire sa consommation jusqu’à néant, dans une perspective de progressive décroissance. Inutile de dire que cette idée ne serait guère applicable tant la consommation d’énergie artificielle est devenue indispensable au fonctionnement de notre société et à laquelle aspirent ceux qui n’en bénéficient pas encore.

Ainsi, à défaut de décroissance, ce sera effectivement une énergie propre et durable pour l’Homme, avec un impact moindre sur le biotope, vers laquelle il faudra se tourner. Mais comment faire ce choix parmi tous les modes proposés par les publicités et les politiciens ?

 

 

L’énergie solaire

Les panneaux solaires — photovoltaïques ou thermiques — seraient à classer parmi les énergies trop coûteuses et éphémères. Ils bénéficient actuellement d’une publicité et d’un engouement qui semblent bien disproportionnés tant ceux-ci sont loin d’être des solutions idéales sans autre inconvénient que leur prix d’achat comme on pourrait nous le faire croire.

En effet, la question principale lorsqu’est avancé l’achat de panneaux photovoltaïques est le temps de retour sur investissement qui est généralement estimé entre 8 et 10 ans, ce qui semble relativement peu dans une perspective de durabilité concrète mais qui s’avère être erroné. Quelques calculs simples permettent de nous en rendre compte aisément :

Pour calculer le rendement moyen annuel d’un panneau de 10 m², on a :
- Un coût moyen d’installation, toutes subventions comprises de 6000 €.
- Un rendement maximal d’exposition solaire annuelle de 1.
- Une puissance crête moyenne de 1500 kWh
- Un coefficient local d’ensoleillement de 0,9 en Normandie

1500 x 0,9 x 1 = 1350 kWh /an

Pour calculer le retour sur investissement par rapport à une installation EDF, on a:
- Un prix de rachat par EDF de l’électricité produite de 0,57 € par kWh

0,57 x 1350 = 769,5 € /an

Soit une durée de retour sur investissement de :

6000 / 769,5 = 7,80 années

7,80 années auxquelles il faudrait ajouter les intérêts bancaires, soit environ 8 ans.

Il s’agit ici du calcul généralement dressé pour avoir une idée de la période jusqu’au retour sur investissement, mais ce calcul prend seulement en compte une production électrique revendue à 100% à EDF. Ceci signifie que l’habitation n’est aucunement indépendante et c’est finalement EDF qui l’approvisionne ensuite de son énergie, nucléaire ou fossile, annulant tout caractère durable et propre de cette habitation (cas du futur éco-quartier de Nice).

Si nous devions calculer la rentabilité de l’installation dans le cadre d’une auto-production totale, voici ce qu’il adviendrait avec les mêmes données que précédemment :

Pour une consommation électrique moyenne (basse) de 5000 kWh par an sans chauffage d’un foyer de quatre personnes, on a :
- Tarif EDF normal moyen (HP/HC) d’environ 0,10 € par kWh
- Rendement moyen annuel pour 10 m² de panneaux de 1350 kWh (voir supra)

0,10 x 1350 = 135 € /an

Soit un retour sur investissement de :

6000 / 135 = 44,45 ans !

Pour une auto-production nous avons donc un retour sur investissement de 45 ans, cependant les 10 m² produisant 1350 kWh par an ne suffiraient pas à couvrir les besoins d’une famille de 4 personnes consommant au moins 5000 kWh par an hors chauffage. Ce foyer nécessiterait environ 40 m² de panneaux pour produire sa propre électricité. Cela nous amènerait à un coût d’achat et d’installation de 24 000 € par foyer.

L’idée étant de faire un choix entre les énergies futures, peut-on raisonnablement penser qu’EDF et ses éventuels concurrents continueront de racheter indéfiniment l’énergie photovoltaïque cinq à six fois plus chère ? Évidemment non. Le rachat n’existerait plus si la revente se faisait à perte. De plus, afin de pourvoir à la consommation des Français, il faudrait recouvrir de panneaux environ 5000 km², soit la surface entière du Cotentin !

Ajoutons à cette liste à charge qu’un panneau photovoltaïque a une durée de production optimale théorique de 30 ans. Dans le cadre d’un retour sur investissement de 45 ans, il s’avère donc qu’un entretien serait nécessaire avant même l’amortissement de l’investissement. Or, cet entretien reste encore mystérieux. Effectivement rien n’est fixé à propos des coûts et des méthodes. Il n’existe pour le moment pas d’autres sociétés d’entretien que les constructeurs eux-mêmes, ce qui laisse envisager une note très salée, surtout lorsque l’on sait que les panneaux photovoltaïques contiennent du triofluorure d’azote, un gaz 20 fois plus polluant que le CO²…

Il est donc nécessaire de faire retomber le mythe du panneau photovoltaïque qui constitue un investissement contraignant et trop instable, une source d’énergie expérimentale coûteuse et peu durable au rendement trop faible pour remplacer les modes de production actuels.

 

 

L’énergie éolienne

Également éphémère et trop coûteuse, l’énergie éolienne est à rapprocher de l’énergie solaire. Dans une volonté de préservation environnementale, elle est absolument antinomique puisqu’elle créé de fortes nuisances visuelles et sonores.

Mais là ne sont pas ses plus gros défauts. Son rendement est également trop faible pour la substituer aux énergies actuelles puisqu’il faudrait environ 300 000 éoliennes rien que pour atteindre la production nationale actuelle d’énergie électrique, sachant que cent éoliennes coûtent environ un milliard d’euros, le calcul est aussi simple qu’irréel ! Les problèmes d’entretiens sont similaires à ceux évoqués pour le photovoltaïque, voire plus contraignants étant donné les difficultés d’intervention. Par ailleurs, la durée de vie d’une éolienne n’a rien d’exceptionnelle : à peine plus de vingt ans !

Actuellement, le marché de l’éolien est en effervescence car, comme pour le photovoltaïque, les fournisseurs rachètent à prix d’or cette énergie vendue à grands coups de subventions. De plus, les constructeurs d’éoliennes sont également les exploitants. Si les éoliennes devaient remplacer définitivement les centrales utilisant les ressources fossiles, ces exploitants accepteraient-ils de s’aligner sur les tarifs de revente actuels, c’est à dire pour un bénéfice cinq à six fois moins élevé ? Accepteraient-ils d’investir des milliards pour ce faible bénéfice ?

Vague Normande